•                      j    Alexandre varlet

    Auteur-compositeur interprète, Alexandre Varlet sort son 2ème album "Dragueuse de fond" enrigistré à Paris en décembre 2000 et juin 2001. Accompagné par de multiples musiciens (M à la guitare électrique) et produit par le label Natais Olympic Disk, Alexandre Varlet se livre dans ses nouvelles chansons de façon très intime, exaltéé et sensible à la fois. Depuis la sortie de son 1er album "Naïv comme le couteau" en 1998, Alexandre Varlet est soutenu par un public marqué par son écriture et ses concerts. De plus, des médias fidèles (France Inter, Le Monde, Les Inrock, ...) vont permettre à la sortie de "Dragueuse de fond" de bénéficier d'une visibilité optimum. Dés le 13 janvier 2003, Alexandre Varlet entamera une série de concerts en solo (guitare et voix) et des 1ères parties dans toute la France, avant de retrouver son groupe à partir de fin Mars. Ce second album devrait confirmer Alexandre Varlet comme l'un des nouveaux auteurs compositeurs de la chanson française.

    http://www.bmg.ch/bmg/productdetails.do?Kuenstler_Nr=154141


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  • tout est dans le titre        :o)

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  •                     n      

    Il n'y a pas si longtemps, tous les soirs dans Nulle Part Ailleurs, Antoine de Caunes et José Garcia ont fait tout ce qui était humainement possible pour faire éclore un sourire indulgent sur le visage souvent consterné des pipoles invités sur le plateau.

    Soutenus par leur indéfectible mentor, Philippe Gildas, ils y sont parfois, et même souvent parvenus, comme en témoignent les 77 sketches cultissimes qui figurent pour la première fois sur ce dévédé.

    L'occasion tant attendue de retrouver enfin Didier Lembrouille, Aquarium, Ouin-Ouin, Gérard Languedepute, Cindy Tropforte, Robert Denireux, et tous les autres...

    Je cours l'acheter , depuis le temps que j'attendais ce dvd :o)


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  •                               n

    "Toute personne a droit à sa liberté", à la dignité, à ce droit absolu, un droit que chacun peut revendiquer et c'est au nom de ce droit que certaines personnes s'indignent de leur situation.....

    Si quelqu'un endure de terribles souffrances, ayant conscience de sa dégradation physique ou mentale, allant jusqu'à souhaiter délibérément sa mort, alors hâter cette mort, est ce un homicide ? N'est ce pas au contraire pure humanité que de l'aider à franchir dans de meilleures conditions, un cap de toute manière inéluctable ? Est ce du courage ou de la lâcheté ? , de la charité ou de l'égoïsme ? , de l'assistance ou de l'assassinat ?

    Les malades qui ne sont pas reconnu comme "malade", qui sont dans le même cas que Vincent, qui, par la totale dépendance que lui imposait son état physique, devait supporter avec une totale passivité, la peur, la lassitude, les insomnies tenaces, les nausées et les vomissements, la soif, le dessèchement de la langue, les incontinences sources d'humiliation constante, les douleurs qui tout d'abord combattues deviennent intolérables. Pour tous ces malades, faire le deuil de leur autonomie est une souffrance des plus pénibles qui soient ; les sentiments d'abandon et de perte de l'estime des autres, la perte de conditions de vie décentes, aboutissent à la perte de l'estime de soi-même et à la perte de sa propre dignité.

    A ceux qui préfèrent une mort "propre" à une mort "salie" par les souffrances et les peines, laissons leur le choix.
    En toute connaissance de cause, ils ne peuvent que crier leur ultime demande à ceux qui ont le pouvoir de la satisfaire ; cela reste leur seule et unique liberté.

    Tolérer l'euthanasie, ce n'est pas donner le droit à qui que ce soit de quantifier la valeur de la vie humaine ; ce n'est pas non plus prendre la fuite face à une situation qui nous dérange ; c'est aider à mettre fin aux souffrances et éviter la dégradation de ces soi-disant "pas malade s ".
    Avant tout, il s'agit d'entendre et de respecter la volonté de chacun .

    Dépénaliser n'est pas banaliser.

    Au nom de la liberté du choix,
    au nom de la dignité humaine,
    au nom de la liberté de la personne,
    accordons la priorité à la volonté individuelle.

    Défendre l'euthanasie, c'est défendre la vie.

    Signez ICI la proposition de loi d'initiative populaire, pour qu'une "loi Vincent Humbert" voit enfin le jour.

    Marie Humbert

    http://www.fautquonsactive.com/


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