GLAMOUR
Glamour, Cacciatori insiste pourtant sur le fait qu'elle est plus à l'aise sur un terrain de volley-ball que sur un podium. "Je n'aime pas être prise en photo seule, dit-elle. Je n'aime pas le maquillage. J'aime les choses simples. Je préfère faire une photo de groupe avec mon équipe."

CONTROVERSE MEDIATIQUE
Maurizia Cacciatori a été au centre d'une querelle concernant la couverture médiatique de son sport, qu'elle considère trop envahissante, tout particulièrement la tendance qu'ont les cameramen à zoomer sur son derrière pendant les matchs. Cacciatori, récemment élue pin-up sportive par les Italiens, s'est plainte après qu'un cameraman de la télévision avait été déplacé de son poste près du terrain pendant un match entre son club, Bergame, et le club de Jesi. Il aurait trop longtemps zoomé sur son postérieur.
L'internationale italienne n'a pas mâché ses mots et a dit à l'agence de presse ANSA : " En Afghanistan, on forçait les femmes à porter la burkha (le voile qui couvre tout le visage). Mais nous aussi devons d'une certaine manière faire face à la discrimination. Nous y sommes maintenant habituées mais nous n'aimons pas ce voyeurisme continuel dans notre sport. Il est clair que la télé est plus intéressée par notre anatomie que par les aspects techniques du match.